Sécurité et conformité HSE : un enjeu clé sur un chantier solaire de 4 hectares

Notre client dans le secteur des énergies a récemment lancé la construction d’une centrale photovoltaïque de près de 4 hectares en Bretagne. C’est dans ce contexte que Valérie, consultante agap2 a intégré le projet en tant que Superviseuse QHSE.

4 hectares pour alimenter 2 570 personnes en énergie verte

Ce chantier a pour objectif la mise en service d’une centrale solaire au sol, implantée sur une ancienne carrière réaménagée. Une fois en fonctionnement, elle produira environ 4,1 GWh par an, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 2 570 personnes. Techniquement, cela représente 5 954 panneaux solaires installés sur 229 tables (structures regroupant plusieurs panneaux), pour une superficie de 37 590 m².

Une présence terrain pour une sécurité maîtrisée

Valérie : « Sur ce chantier, je suis la seule représentante permanente du maître d’ouvrage. Mon rôle principal est de garantir le respect des règles HSE (Hygiène, Sécurité, Environnement) pendant toute la durée des travaux, jusqu’à la réception des lots concernés.

Au quotidien, je suis présente sur le terrain pour contrôler en continu le niveau de sécurité, en veillant notamment au port des EPI adaptés, au respect des consignes de sécurité et à l’application des exigences HSE du client. Je participe également aux opérations à risque et nous pouvons arrêter grâce à l’outil « Stop Card » toute activité dangereuse si nécessaire, pour échanger avec les équipes, définir des actions correctives, puis relancer l’activité une fois les conditions de sécurité réunies.

Je suis aussi en charge de l’animation quotidienne des quarts d’heure sécurité avec les sous-traitants, de la mise à jour des panneaux d’affichage QHSE et de la collecte de toute la documentation réglementaire du chantier. Je vérifie que tout est conforme et à jour, pour chaque intervenant et chaque machine utilisée sur le site. En parallèle, je m’assure que les opérations prévues sont bien encadrées par les documents sécurité (PGC, PPSPS) et qu’elles respectent les exigences environnementales du projet. »

Donner du sens au projet par l’échange humain

Valérie : « Ce que je retiens pour le moment, c’est la richesse des échanges avec les différents intervenants. Le lien humain, le fait d’échanger sur LEUR sécurité, de leurs conditions de travail, c’est ce qui donne du sens à ma mission.

Et puis sur un plan plus personnel, ce projet m’a permis de renouveler une première expérience en tant que Superviseur QHSE dans un secteur d’activité différent, tout en explorant de nouvelles compétences en environnement. Le fait que ce soit en Bretagne, une région que j’apprécie beaucoup, est un gros plus ! »